La suppression du droit de grève à certains agents de l’Etat, en occurrence aux agents de santé, personnels de la justice et aux magistrats par l’Assemblée nationale est vue et analysée par les observateurs de la vie sociopolitique nationale.
C’est le cas de Wanep-Bénin qui est un réseau d’organisations de la société civile engagées dans l’édification de la paix. A travers une déclaration rendue publique, ce réseau désapprouve la décision législative qu’elle estime être contre-productive pour la redistribution des ressources, le dialogue et la paix. Wanep-Bénin estime que »le parlement dit viser davantage la consolidation des acquis et résister aux solutions de reculs démocratiques.