La Secrétaire Exécutive de l’Institut Nationale de la Femme (INF), Flore Djinou est au banc des accusés. Une dénonciation publique sur le réseau social X, anciennement connu comme étant Twitter, l’accuse de violence au travail.
La dénonciation de violence au travail notamment à l’Institut National de la Femme, émane de la Camerounaise Minou Chrys-Tayl, ancienmment Cheffe Pôle Communication et Sensibilisation de l’institution qui accuse la SE Flore Djinou.
Sur le réseau social X, elle raconte son départ de cette institution, dans un contexte marquée par une violence qu’elle subissait de la part de la Secrétaire Exécutive. Voici les faits tels que rapportés par l’auteur sur Y.
N’AYEZ PAS HONTE ! DÉNONCEZ !
Ce jour 3 NOVEMBRE 2024 , je porte une dénonciation publique à ton encontre, Flore Djinou, ainsi qu’à l’ensemble des personnes ayant participés. Je mets en lumière les agissements qui nuisent à l’intégrité et à l’éthique de notre institution, ainsi qu’à la dignité des personnes impliquées. Cette déclaration se veut un acte de justice, visant à restaurer la transparence et le respect que nous devons tous honorer.
● Abus de pouvoir : Tu n’es pas signataire de mon contrat de travail
● Licenciement abusif et traitement humiliant.
● PERVERSITÉ INSTITUTIONNELLE.
● Harcèlement moral.
● Violences psychologiques.
● Exclusions professionnelles et dénigrement
● Absence de respect professionnel
● dévalorisation et Pression psychologique.
● Organisation de l’incompétence – LA FORME LA PLUS PERVERSE
● Violences organisationnelle ou violence professionnelle par déstabilisation : Cette forme de violence se produit lorsque des actions sont prises au sein de l’organisation pour dévaloriser, contourner ou déstabiliser une personne dans l’exercice de ses fonctions.
● DIFFAMATION ENVERS LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE : Lorsque le Président apprendra que vous avez utilisé son nom et sa fonction pour mentir et discréditer mon travail ! Lorsqu’il découvrira qu’il a donné un ordre, et que vous avez manigancé pour empêcher son exécution !)
● Violences institutionnelles : Manipulation et sabotage institutionnel.
Le fait de contourner ou d’entraver les directives du Président, en particulier lorsqu’elles concernent le bon fonctionnement de l’institution, peut être interprété comme une forme de violence institutionnelle et de violence psychologique. En bloquant délibérément l’exécution d’instructions supérieures et en agissant de manière à discréditer mon rôle, cela a participer à crée un environnement où mes compétences et mon autorité ont été systématiquement minées.
Ce type de violence institutionnelle sape la confiance en l’encadrement, induit un sentiment d’impuissance et d’injustice, et peut même isoler la personne visée. La violence psychologique, ici, se manifeste dans la manipulation de l’information et dans l’érosion intentionnelle de ma crédibilité, contribuant à me déstabiliser dans mes fonctions et à me décourager.
● DÉGRADATION DE L’IMAGE D’UNE AUTORITÉ PUBLIQUE: Tu as participé activement à une campagne de dénigrement et de diffamation à l’encontre de Madame la Ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance (MASM), avec le soutien de ton assistante et d’autres collaboratrices lors de la réunion de stratégie du 6 MAI.
Ces propos atteignent un niveau de malveillance institutionnelle inacceptable, et les enregistrements de cette réunion en sont la preuve irréfutable.
🟣 Note importante : L’échange du 6 mai témoigne d’un climat de violence institutionnelle, où la Secrétaire Exécutive et certaines de ses collaboratrices cherchent à fragiliser l’autorité présidentielle et à entraver les missions confiées à Madame la Ministre des Affaires Sociales. Ces actes dépassent la simple malveillance personnelle et relèvent d’une tentative coordonnée de déstabilisation de l’institution, au détriment de sa mission et des directives émises par la plus haute autorité de l’État.
J’ai déposé un courrier auprès de la @PresidenceBenin pour informer le Président des actes de violences institutionnelles perpétrés par toi et les autres collaboratrices.
Cette vidéo de la capture constitue l’une des preuves de la violence subie à travers l’exclusion professionnelle. Je n’étais pas informée de l’intervention du prestataire (Proximity). Un matin, en arrivant au bureau, mon collaborateur m’a signalé qu’un monsieur demandait le logo de l’INF. Il m’a alors demandé si j’étais au courant de cette démarche ; ma réponse fut naturellement négative. J’ai donc abordé le sujet en comité de direction en employant ces termes : « Suis-je devenue transparente pour ne pas avoir été mise au courant ? » La réponse de Flore fut empreinte de mépris (des témoins peuvent attester).
En approfondissant les vérifications, j’ai découvert que la facture de cette prestation était trois fois supérieure à ce que je payais habituellement pour des prestataires ( qui étaient traités comme des moins que rien ) Ces derniers, il convient de le souligner, avaient réduit leurs tarifs afin de me permettre de travailler malgré l’environnement de sabotage ambiant.
En somme vous constatez des violences qui minent l’efficacité de l’administration publique et trahit la mission de l’institution, en privant la population de la protection que le Président vise à instaurer. Tout c’est se servir de la lutte pas se mettre au service de la lutte !
Dans tous les scénarios possibles, vous vous êtes dit que je n’allais jamais parler. Sauf que moi, J’AI UNE DIGNITÉ, JE N’AI PAS PEUR DE LA VÉRITÉ!
J’AIME LE DIEU TOUT-PUISSANT QUI M’A EMMENÉ ICI ! ME TAIRE, C’EST DÉSAVOUER LE DIEU TOUT-PUISSANT ; MES ANCÊTRES, LES ANCÊTRES DU BÉNIN ET LA LUTTE, LES AGOODJIÉS.
C’EST LAISSER LE MENSONGE, LE MAL, LA VIOLENCE TRIOMPHER JAMAIS !!!!!
Minou Chrys-Tayl – PLUS JAMAIS PERSONNE NE VA ME FAIRE DU MAL ET MENTIR SUR MON NOM ICI AU BÉNIN.