
Saisie par le parti Les Démocrates, la Cour suprême a rejeté le recours visant à contester la décision de la CENA pour les communales et municipales de janvier 2026. Le verdict confirme la position de l’institution électorale et ferme la voie à toute remise en cause de son acte.
Après le recours des démocrates, la Cour suprême donne raison à la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA). En effet, la bataille juridique engagée par le parti Les Démocrates (LD) pour infléchir la décision de la Commission électorale nationale autonome (CENA) n’aura finalement pas porté ses fruits. La Cour suprême a débouté la formation politique, estimant que le recours introduit n’était pas fondé.
En contestant la décision de la CENA relative aux communales et municipales prévues pour janvier 2026, le parti d’opposition espérait renverser la tendance en sa faveur. Mais la plus haute juridiction administrative du pays a confirmé la régularité de la procédure électorale conduite par l’institution en charge du scrutin.
Ce rejet consacre la validité des actes posés par la CENA et clôt, pour l’heure, la phase contentieuse autour de la participation des partis politiques. Une décision qui engage désormais les formations en lice à se conformer au calendrier électoral et à affûter leurs stratégies pour le prochain rendez-vous électoral.






































