A travers un communiqué de presse rendu public ce 9 août, le Groupe d’études et de recherche sur la démocratie et le développement économique et social en Afrique (Gerddes Afrique) s’est prononcé sur le projet de nouvelle loi électorale qui fait le tollé depuis la fin des travaux de la commission des lois de l’Assemblée nationale.
Selon cette organisation, les cautionnements fixés pour les élections violent la constitution et la démocratie ne saurait être privatisée.